Premièr Article faux textes

Soyons clairs, soyons précis, comme aime l’être le patron du Crédit Mutuel de Bretagne : la banque Arkea, qui finance avec Paprec une écurie Imoca, ce n’est pas le CMB. Et le Class40 Crédit Mutuel de Ian Lipinski, ce n’est pas non plus du ressort de la banque territoriale que Philippe Rouxel dirige à la façon des « bons pères de famille » évoqués dans les contrats et autres serments de mariage. https://6ba17395562bf3c583e8a693e6cf5cc0.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-38/html/container.html

« Donc en professionnels et nous en restons là, ajoute le banquier. Quand ces skippers montent en puissance, ils tapent à d’autres portes financières et ils ont tous nos encouragements mais notre rôle s’arrête là ».

Ces grands voiliers de course, c’est magnifique, mais je suis un Breton des terres, de l’Arvor comme on dit

Centre Nautique

« notre Imoca Corum n’a pas encore les résultats escomptés en course mais pas question de lâcher en route notre skipper, Nicolas Troussel », Philippe Rouxel rétorque aussitôt qu’« effectivement, notre philosophie va plutôt dans ce sens. Il ne faut pas être obsédé par les résultats et par la gagne à court terme. Il faut continuer de faire confiance tant qu’on reste dans les limites de la stratégie définie ».

Défendre un skipper dans la durée, savoir traverser des mauvaises années

Et puis de toute façon, conclut Philippe Rouxel, j’ai beau être un Breton de l’intérieur, j’ai compris que dans la voile, il faut défendre un skipper dans la durée. Il faut savoir traverser des mauvaises années. Les remises en cause peuvent être belles. Donc il faut avoir du recul, de la confiance et savoir laisser passer le mauvais temps. Les grands skippers savent le faire, les jeunes l’apprennent. Moi aussi ».

Faire de la voile à Saint-Etienne !

Il ne faut pas être obsédé par les résultats et par la gagne à court terme. Il faut continuer de faire confiance tant qu’on reste dans les limites de la stratégie définie

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